Nabaztag

Le Nabaztag est un objet communicant représentant un lapin. Créé par Olivier Mével et Rafi Haladjian, il est produit par la société française Violet.



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Nabaztag :tag

Le Nabaztag est un objet communicant représentant un lapin (nabaztag, ????????, veut dire «lapin» en arménien). Créé par Olivier Mével et Rafi Haladjian, il est produit par la société française Violet.

Origine

Nabaztag a été créé par la société Violet qui en a confié la conception graphique à l'agence In Process, qui a reçu pour ce travail le Grand Prix Stratégies de la catégorie innovation et développement[1].

Les premières versions du Nabaztag ont été développées par l'école d'ingénieurs ESME-Sudria à Ivry-sur-Seine[2]. C'est actuellement la société Violet qui en possède les droits technologiques et commerciaux.

Caractéristiques

Il mesure vingt-trois centimètres de hauteur (seize centimètres sans les oreilles), pèse quatre cent dix-huit grammes et se connecte à internet par ondes Wi-Fi 802.11b/g. Il communique avec son utilisateur en émettant des messages vocaux, lumineux ou en remuant les oreilles. Il diffuse des informations du type météo, bourse, qualité de l'air, trafic routier du périphérique de Paris, arrivée de courriels, etc. Le Nabaztag consomme approximativement sept watts en activité (lumières, haut-parleur et oreilles).

Points artistiques

Depuis sa création, Antoine Schmitt en est le concepteur comportemental et Jean-Jacques Birgé le concepteur sonore. Ensemble, ils ont composé l'opéra Nabaz'mob[3] pour cent Nabaztag, en détournant l'objet de sa destination première. Sylvain Huet a développé le code, la voix française est celle de Maÿlis Puyfaucher qui est aussi l'auteur de l'ensemble des textes.

Faits marquants

Nabaztag :tag

Il existe aussi un nouveau Nabaztag, sorti début décembre 2006 : le Nabaztag :tag. Il mesure vingt-trois centimètres de hauteur (seize centimètres sans les oreilles) et pèse un kilogramme.

Un micro est positionné au niveau du nombril ; ce dernier permet d'interagir avec le lapin grâce à la voix ou d'envoyer des messages vocaux vers un autre Nabaztag :tag. Il est aussi envisageable d'écouter des sons en lecture en continu (ce qui permet l'utilisation des services webradio au contraire de la précédente version).

Ce nouveau modèle est capable de reconnaître des radio-étiquettes (ou RFID). Un ouvrage (pour enfant) qui serait pourvu d'une radio-étiquette identifiable par le Nabaztag :tag, sera lu.

En novembre 2007, Violet lance avec Gallimard Jeunesse un ouvrage pourvu d'une radio-étiquette lisible par un Nabaztag :tag, première application pour le grand public de la technologie[6].

Violet a signé en 2008 des contrats identiques avec Nathan[7] et l'éditeur britannique Penguin Books avec certains livres Ladybird Books [8].


Notes et références

  1. Agence In Process, «Agenda de l'agence depuis 2006». Consulté le 11 janvier 2009.
  2. Christian Touseau, «De nombreux transferts technologiques» dans Les Matinales, les plateformes de haute technologie du Val-de-marne, p.  21, [lire en ligne  (page consultée le 8 janvier 2009) ].
  3. Opéra Nabaz'mob
  4. Gilles Fontaine, «Le coup du lapin high-tech» sur Challenges, 9 novembre 2006, [lire en ligne  (page consultée le 5 janvier 2009) ].
  5. Vincent Ramarques, «Violet victime du succès de son Nabaztag pendant les fêtes» sur NetEco, 28 décembre 2006, [lire en ligne  (page consultée le 5 janvier 2009) ].
  6. Frédéric Monflier, «Le lapin malin se fait conteur» sur ZDNet, 12 octobre 2007, [lire en ligne  (page consultée le 5 janvier 2009) ].
  7. Christofer Ciminelli, «Le Nabaztag emprunte la bonne voix» dans SVM, 5 juin 2008, [lire en ligne  (page consultée le 8 janvier 2009) ]
  8. (en) «Nabaztag Ladybird Books» dans le Telgraph, [lire en ligne  (page consultée le 8 janvier 2009) ].

Liens externes

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